Une succession de voix et de prénoms rapporte des événements et des sensations drôles, absurdes ou quotidiens en un théâtre de paroles contemporain. L’oralisation du texte suscite dans Embâcle sa propre mise en scène. Ici, entre affect et distance, se fabrique un paysage humain, irruptif, loin de toute tentative de lissage consensuel.
Le livre est accompagné d’une postface de Louis-Jean Teitelbaum, chercheur et concepteur d’interfaces, et d’un contrepoint de Marie-France et Patricia Martin, performeuses. Sarah Bahr